Séverine ABIGNON
Psychologue Psychothérapeute à Pessac (33)
 
10 Avenue Roger Chaumet, 33600 Pessac
 
Disponible aujourd'hui de 8h à 19h
 
05 36 40 64 05

Thérapie familiale Pessac en Nouvelle-Aquitaine

Séverine ABIGNON, thérapeute familiale à Pessac

La thérapie familiale, c'est comme un repas de famille

La thérapie familiale c’est comme un repas de famille. Chaque membre y est présent, chacun sait plus ou moins ce qu’il doit faire, où se placer, quoi dire ou taire pour éviter les conflits ou déplaire. Certains membres absents restent très présents, d’autres présents sont absents. Certains sont enthousiastes de ces retrouvailles d’autres au contraire se sentent contraints et forcés. Certains se réjouissent de devoir comme chaque année partager des souvenirs du passé, des anecdotes plus ou moins flatteuses, se raconter, parler de leurs projets, leurs réussites et d’autres pas.

Ce repas peut-être aussi l’occasion d’accueillir de nouveaux membres venant ainsi agrandir la famille (nouveau(x)-né(s), conjoint(es), nouveaux ami(es)).

Cela peut-être un moment doux, agréable, festif mais aussi un repas sous haute tension, « une défaite de famille » en fonction des liens qui unissent ses membres (jalousie, rivalité ou solidarité fraternelles, tensions, souffrances conjugale, …), du fonctionnement familial, de l’histoire de la famille (secrets de famille, non-dits, traumatismes, …), de ses valeurs, de ses habitudes.

Toujours est-il, que ce repas, sera sous la surveillance bienveillante d’un thérapeute accompagné peut-être d’un co-thérapeute. Garant du respect de chaque membre, analysant au plus près le fonctionnement du groupe famille, à l’écoute des besoins individuel et groupal, attentif aux places et fonctions conscientes et inconscientes de chacun au sein de ce groupe familial en quête de retrouvailles chaleureuses. Ce temps pourra alors être porteur de sens, éclaircir certaines zones d’ombres sur les origines familiales ou par exemple sur l’histoire d’un ancêtre. Ou remettre certains membres à leur place. Rassurer certains sur la possibilité de quitter le nid pour vivre leur vie tout en étant assuré de conserver leur place autour de la table familiale.

Définition de la thérapie familiale psychanalytique (TFA)

Dans une perspective psychanalytique, la famille est considérée comme un groupe spécifique composé de membres liés dans des modalités d’alliance, de filiation et de fraternité. Ils sont liés par le sang, membres d’une chaîne générationnelle qui les précède, mais qu’ils ont la charge de prolonger.

Si la famille est à elle-même sa propre fin, elle est aussi le maillon d’une chaîne générationnelle et se trouve donc le lieu et l’appareil d’articulation de la transmission psychique intergénérationnelle et intra groupale.

L’objet de la thérapie familiale psychanalytique porte sur l’analyse des liens conscients et inconscients qui unissent chaque membre de la famille, de repérer l’organisation familiale, ses habitudes, ses valeurs transmissent de génération en génération. Elle interroge le groupe familial sur la reconnaissance mutuelle des membres constituant la famille. Leur sentiment d’appartenance et de sécurité. Sur l’enveloppe familiale.  Leurs liens, le générationnel.

Il y a différents types de liens : amoureux, haineux, fraternels, généalogiques, respectifs avec les familles d’origine, de cohabitation, du groupe familial par rapport à l’extérieur.

Ces différents types de liens permettent de mettre en évidence la différence entre les êtres, sexes et les générations ce qui caractérise le groupe familial et le spécifie par rapport aux autres types de groupes.

 

Indications à la thérapie familiale psychanalytique

Dans cette approche, la souffrance familiale proviendrait des aspects non différenciés du lien, aspects générateurs de confusion, d’empiètements et d’obstacles à l’individualisation du sujet.

Parfois pour de multiples raisons (traumatismes, secrets de famille, non-dits, …) ces liens sont flous, mal définis, rendant difficile l’organisation même des liens intrafamiliaux et dans la forme qu’ils prennent. La famille entretien alors leur manière d’être ensemble dans une extrême proximité ou dans un rejet violent, souvent de façon rythmique, c’est-à-dire successive et répétitive.

D’autre fois, c’est l’espace et l’organisation groupales qui prennent le pas sur l’individuation et la subjectivation. C’est alors les objectifs et les moyens dictés par la famille qui deviennent prioritaires. « Le nous » l’emporte sur le « je ».

Dans ces problématiques familiales, la TFA (thérapie familiale psychanalytique) apporte un assouplissement des fonctionnements et un apaisement de la souffrance et des angoisses.

Elle permet à chaque membre de trouver sa place, de s’individualiser afin d’être en mesure de dire «je » au sein même du « nous familial ».  De se sentir en sécurité au-dedans comme en dehors de son groupe familial. De ressentir une certaine souplesse dans le lien d’appartenance à sa famille. Elle redonne la capacité à rêver, symboliser, à se raconter en tant que famille.

Elle permet également de rendre à la famille sa capacité à « métaboliser » (mettre du sens, de la pensée, des mots, des représentations) les angoisses qui la désorganisent ou l’organisent de manière pathologique et coûteuse pour l’individuation de ses membres.

Indications à la thérapie familiale psychanalytique

Dans cette approche, la souffrance familiale proviendrait des aspects non différenciés du lien, aspects générateurs de confusion, d’empiètements et d’obstacles à l’individualisation du sujet.

Parfois pour de multiples raisons (traumatismes, secrets de famille, non-dits, …) ces liens sont flous, mal définis, rendant difficile l’organisation même des liens intrafamiliaux et dans la forme qu’ils prennent. La famille entretien alors leur manière d’être ensemble dans une extrême proximité ou dans un rejet violent, souvent de façon rythmique, c’est-à-dire successive et répétitive.

D’autre fois, c’est l’espace et l’organisation groupales qui prennent le pas sur l’individuation et la subjectivation. C’est alors les objectifs et les moyens dictés par la famille qui deviennent prioritaires. « Le nous » l’emporte sur le « je ».

Dans ces problématiques familiales, la TFA (thérapie familiale psychanalytique) apporte un assouplissement des fonctionnements et un apaisement de la souffrance et des angoisses.

Elle permet à chaque membre de trouver sa place, de s’individualiser afin d’être en mesure de dire «je » au sein même du « nous familial ».  De se sentir en sécurité au-dedans comme en dehors de son groupe familial. De ressentir une certaine souplesse dans le lien d’appartenance à sa famille. Elle redonne la capacité à rêver, symboliser, à se raconter en tant que famille.

Elle permet également de rendre à la famille sa capacité à « métaboliser » (mettre du sens, de la pensée, des mots, des représentations) les angoisses qui la désorganisent ou l’organisent de manière pathologique et coûteuse pour l’individuation de ses membres.

Souffrance de la parentalité à Pessac

Souffrance de la parentalité

Devenir, être parents est une tâche difficile, certains peuvent se sentir désarmés devant des enfants « non cadrés » et intolérants à la frustration. Ou pour mettre des limites, dire non, sans ressentir de la culpabilité, la peur de perdre l’amour de son enfant ….

Nous rencontrons également beaucoup de souffrances parentales et donc de souffrances d’enfants dans les séparations de couple ou dans les familles d’adoptions dans lesquelles les problématiques sont toujours extrêmement complexes.

La question des couples homosexuels et leurs projets d’enfants peut aussi relever de ce type de travail thérapeutique.

Souffrances post-traumatiques à Pessac

Souffrances post-traumatiques

Les accidents de vie, qui ne se traduisent pas obligatoirement par des symptomatologies individuelles ou familiales, mais entraînent des fonctionnements de survie pour faire face aux angoisses d’effondrement. Dans ces évènements douloureux (deuils, maladies, séparations, déracinement, …) tout est mis en place pour anesthésier la souffrance.